Le 22juin,aa.JPG Lougré accepte de moins en moins que nous soyons proche de l’équipe, ne vient à la taverna que vers 12h pour prendre le café et faire une réflexion. Nous partons, tous les équipages de (Sparky, Baladin, Christiania) sur Lady Laura, nous rejoignons le port ou ils ont leurs bateaux, pour notre première mise au quai, avec ancre au large et cul au quai, Lougré ne aa1.JPG veut pas suivre et part vers un autre mouillage. Sur la plage qui est dans le port, il y a un robinet avec un filet d’eau, aa2.JPGMartine en profite pour faire une petite lessive. Bulle nous surprend. En nous promenant le long de cette plage, aa3.JPGelle va se baigner toute seule, nous en profiterons par la suite pour nous baigner avec elle, et lui faire faire sa rééducation. Martine, Sophie, Eliane font un scrabble dans l’après midi, pendant que j’essaye de remettre en route le moteur de l’annexe de Carlo, aa4.JPGce que je ne peux faire faute d’une petite pièce que l’on trouvera à Levka. La nuit est calme. Lougre2 n’a pas donné de nouvelle. Il sait ou nous allons et l’heure de départ.

Le 23 juin, départ 10h30 arrivée 13h de Parga pour Lakka sur l’île de Paxos. Au départ à 10h il fait déjà 33°. Très belle baie très bien protégée, mais pas encore habitué à cette ancre, je suis obligé de me reprendre 2 fois, plus une autre pour changer de place. L’eau est magnifique, d’un vert émeraude. Lougré s’est mis à l’écart.aa5.JPG

Noussommes invités sur Sparky. Nous voulions nous mettre un peu au régime, mais chaque jour, l’un ou l’autre des bateaux invite les autres. aa6.JPGLouis de Lougré vient seul et nous explique que Claudine n’est pas très bien, dépressive, et que pendant quelques temps il naviguera seul. En aparté, je lui propose de le tenir au courant de notre position par sms, aa7.JPGde manière à ce qu’il puisse nous rejoindre lorsque cela ira mieux. Il est d’accord sur le principe, mais je sens dans son ton une retenue, il ne voudra pas l’admettre. Il s’avère qu’il répondra laconiquement à mon message, et que tout à fait par hasard, il arrivera sur un mouillage que nous aurions du quitter la veille, ce qu’il aurait pu savoir, mais il avait certainement coupé son téléphone. Le fait que nous ayons été là a été le détonateur pour une séparation définitive.