procida

Le 15 août, départ à 6h30 pour Procida où nous arrivons à 16h45. Un peu de voile jusqu’en milieu de la baie de Salerne avec une mer 3 et vent 15nds de travers, agréable, puis vent de face avec rafale à 30 noeuds, mer 4 désagréable et au moteur. Incident de parcours : le sac à spi qui est ferlé devant le rouf passe sous les filières et traîne dans l’eau juste tenu par la garcette de fermeture. Je vais à l’avant le récupérer ce qui n’est pas très facile car le sac est plein d’eau et très lourd.Le reste du parcours se passe à peu près bien et l’arrivée sur Procida se fait à l’abri de l’île. Le mouillage est plein à craquer, mais ce sont surtout des Napolitains et dans la soirée tout ce beau monde rentre sur le continent. Une houle résiduelle se forme et rend le mouillage inconfortable, petite nuit. Tous les petits points blancs, sont des bateaux venus de Naples, en manœuvre ou au mouillage, et le jour de la photo était un jour calme

Le 16 août, départ de Procida à 7h arrivée Circeo 18h15. Départ tranquille à la voile avec Baladin dans le sillage. J’en profite pour pêcher un beau maquereau, la mer est calme, nous pensions nous arrêter à Gaeta, mais avec ces bonnes conditions, nous décidons de continuer. En fait ce n’est pas la bonne idée, le vent se lève, tourne, et nous l’avons en plein dans l’axe. De plus une grosse houle se forme. Nous arriverons à Circeo, Baladin va au port, il est fatigué. Nous faisons le tour de celui-ci, il est surchargé. Nous le connaissons, l’an passé nous nous sommes arrêtés avec André. Nous ressortons donc pour nous mettre au mouillage juste à coté de l’entrée, où les fonds sont faibles, bien abrités par la colline de la presqu’île. Nuit correcte mais bruyante, de la musique jusqu’à 3h du matin. Ce sont les vacances et tout ce qui est, bar, restaurant, et boite de nuit, fait le plein de clients et de décibels.

Le 17 août, de Circeo à Porto di Roma Départ 6h30 arrivée 17h. Beau temps pour commencer, puis vers 13h, comme souvent depuis début août, la mer se creuse, le vent monte et comme d’habitude, dans l’axe pour le vent du moins. Le port di Roma que nous connaissons de l’an dernier avec André, est une véritable marina avec tout le confort. Il a subit de grosses transformations depuis la photo ci jointe. Il a été prolongé par une digue au nord de celle présente et l’entrée se fait entre les deux avec un sas et une espèce de place où les employés du port viennent nous chercher et nous donner la main pour la prise de poste. Nous obtenons deux places sur le même ponton avec juste un bateau entre et Baladin et nous