De la viande de qualitĂ© aad.JPGet a un prix qui laisse rĂŞveur, lĂ©gumes et fruits excellents, dans une petite rue un marchĂ© tous les matins, deux ou trois ships mais attention les prix sont Ă  la tĂŞte du client. levka.JPGJ’en profite pour dĂ©panner le moteur de l’annexe de Carlo, ainsi que pour me connecter Ă  Internet, donner et prendre des nouvelles de France, ce que nous essayons de faire assez rĂ©gulièrement. Jean Claude a retrouvĂ© un couple d’amis et passe la soirĂ©e avec eux pendant que Sparky et Christina viennent prendre l’apĂ©ritif sur Lady Laura et que nous dinerons sur Sparky. La nuit est toujours aussi chaude, nous avons beaucoup de mal Ă  nous endormir. Comme nous sommes en bordure d’une route de grand passage il y a du bruit jusqu’à une heure avancĂ©e ce qui n’arrange rien. aad1.JPGpromenade en ville, le 29 Jean Claude vient nous rejoindre, il fait très chaud, nous ne sommes pas habituĂ©s Ă  des tempĂ©ratures pareilles : 40° Ă  l’ombre. Les nuits ne sont Les 28 et 29 juin,pas beaucoup plus fraĂ®ches 30/35°. Pas de baignade possible mais un robinet dans un jardin public juste en face des bateaux, nous permet un ravitaillement en eau, au aad2.JPG moins pour la douche.

Le 30juin, dĂ©part 9h15 de Levka pour Nidri, Baie tranquille 38°42’06N 20°42’51’’E , oĂą nous arrivons Ă  11h45, le canal fait un peu plus de 5 miles c’est original sinon joli, puis le canal s’élargit, on est en mer, l’eau est salĂ©e ! Mais les Ă®les et le continent sont tellement proches que l’on se croirait sur un grand lac, un peu comme Vassivière Ă  cotĂ© de Limoge pour ceux qui connaissent. Pendant ce parcours, nous verrons de très près une tortue de plus d’un mètre de diamètre. aad3.JPGNous arrivons sur Nidri, en passant devant l’île d’Onasis pour entrer dans la baie « tranquille ». Cette baie est creuse de 2 miles, avec des Ă©vasements qui servent de mouillages, beaucoup de bateaux, trop Ă  notre gout, mais pas dĂ©sagrĂ©able quand mĂŞme. J’ai un petit problème avec ma tablette arrière, la soudure d’une fixation a lâchĂ©. Le temps de dĂ©monter une partie de la tablette de l’assurer au balcon arrière. Il est 18h, j’ai très peur de ne rien trouver, mais avec les tempĂ©ratures, les Grec ne commencent Ă  travailler qu’assez tard dans l’après midi, ce qui nous arrange. Martine, Patrice et moi, partons avec l’annexe, Ă  la aad4.JPGrecherche d’un poste de soudure pouvant souder l’inox, juste deux points Ă  faire sur un filetage et une coupelle. Nous passons devant un chantier, oĂą Martine nous fait une dĂ©monstration de l’Anglais littĂ©raire devant un ouvrier, il nous regarde un peu hagard et fini par dire « mais quelle langue vous parlez ?», et nous explique un tiers en Français, un tiers en Anglais et un tiers en Grec oĂą trouver ce que nous cherchons. C’est un peu plus loin, mais nous devons reprendre l’annexe et faire un petit kilomètre. L’ouvrier qui nous reçoit ne parle pas un mot autre que le Grec, mais nous nous comprenons par gestes et sourires. Il fera les deux points, quand nous demanderons ce que l’on doit il ne veut rien, je lui glisse un billet ce qui est la moindre des choses, de retour au bateau nous remontons la plateforme. Le soir dĂ®ner sur Baladin. Nuit calme au mouillage, mais la chaleur nous gène un peu, le sommeil n’est pas très bon.