Le 1° juillet, nidri.JPGdĂ©part Ă 10h de Nidri pour arriver Ă  Sivota Ă  13h. Nous avons du mal Ă  croire qu’à 9h du matin il fasse dĂ©jĂ  près de 45°, nous faisons le tour de la baie tranquille. C’est très bien protĂ©gĂ© de tous les vents. Il y a un peu de fond et l’eau n’est pas très claire, les fonds sont pleins de vase, avec le mouvement des bateaux elle remonte. Il faut se baigner tĂ´t le nidri1.JPGmatin avant que ça ne soit brassĂ©. Le parcours est splendide nous nous faufilons Ă  travers les iles pour arriver Ă  espèce de chenal en zigzag ce qui fait une protection contre presque tous les vents. Nous avons eu un peu de vent et avons pu faire de la voile. Nous mouillons ancre au large et cul au quai, devant une taverna qui est un ancien moulin Ă  huile, nidri2.JPG mais partout nous serons déçu par l’urbanisation, l’eau n’a pas les couleurs que l’on attendait. Patrice et Sophie se mettent au mouillage au milieu de la baie, nous larguons les amarres et allons les rejoindre, Baladin et Christina restent au quai. Nous les nidri5.JPGrejoindrons avec l’annexe. Les femmes Ă  la terrasse font un scrabble et les hommes boivent une Missos, bière Grecque servie dans un verre givrĂ©, c’est un demi litre et il faut bien ça pour se dĂ©saltĂ©rer, n’est-ce pas ? Jean-Claude, tu as l’air bien fatiguĂ© nidri4.JPG Le vent se lève et avec Patrice nous rejoignons les bateaux, pour revenir nous mettre au quai en profitant du dĂ©part de quelques bateaux.. Dans la soirĂ©e la prĂ©sence de guĂŞpes nous ennuie, Patrice et moi-mĂŞme nous ferons piquer. Le soir, dĂ®ner Ă  terre, promenade et glace. Le vent est tombĂ©, les guĂŞpes sont parties au coucher du soleil. La nuit sera tranquille. nidri3.JPGComme dans toutes ces petites baies et ports, il faut se mĂ©fier des flottilles de location. Dès que l’on voit apparaĂ®tre un bateau avec plusieurs pavillons, il y a de grandes chances que la troupe arrive. Comme ce sont en gĂ©nĂ©ral des bateaux de 8 Ă  10 m et que les gens Ă  bord ne sont pas des pratiquants habituels.nidri6.JPG Il faut qu’ils arrivent au quai, quoi qu’il arrive. Et ça ne se passe pas toujours très bien. Nous aurons tout le long de ce voyage Ă  gĂ©rer ce problème. Autant les plus grandes villes et Ă®les sont Anglophones avec un accueil pas toujours sympa et la vie chère, autant dans les coins plus reculĂ©s l’accueil est très cordiale et la population accueillante