Les 2, 3, 4 juillet, sivota.JPGnous restons à Sivota le mauvais temps est annoncé. Balade dans le village et autour de celui-ci. sivota1.JPGAux bateaux nous sommes envahis par les guêpes, je me fais piquer 2 fois c’est très désagréable! Nous remettons un peu d’eau, 80litres pour 2€. sivota2.JPG Le soir nous allons à terre, sous les arbres pour manger les lasagnes de Marta. Nous préparons les tables de camping et commençons à boire l’apéro, Martine décide de ramener Bulle au bateau à cause des épines qui traînent au sol. Elle s’aperçoit que le bateau de Patrice touche au quai. Il faut reprendre le mouillage. sivota3.JPGEn reprenant de la chaîne nous nous rendons compte que l’ancre est décrochée. Il faut ressortir et la reposer, à ce moment le guindeau ne répond plus, il y a beaucoup de vent et nous ne sommes pas de trop à 4 pour sortir remouiller l’ancre et reprendre l’amarre sur le quai. Il y a eu quelques minutes d’angoisse.A ce moment là nous nous apercevons que le bateau de Carlo a le même problème. Pendant que nous reprenons le mouillage, les femmes rapatrient le pique nique devant les bateaux, de manière à pouvoir les surveiller. Ils n’ont pas sivota4.JPGdécrochés par hasard, mais une flottille de bateaux de location est arrivée, et à chaque fois que nous aurons à faire à elles, il y aura des problèmes. Nous arrivons enfin à manger les lasagnes et les côtes de porc. La nuit n’est pas fantastique car nous craignons que l’ancre ne dérape ou soit décrochée par un autre bateau.sivota5.JPG

Le 5 juillet, sivota6.JPGdépart pour Meganisi à 9heure, Martine remonte l’ancre, ça se passe bien, elle a peur de faire cette manœuvre. Il est vrai, qu’il est rare de remonter la totalité de la chaîne, sans mettre les mains dans le puit pour dégager le guide chaîne. sivota7.JPGArrivée à 12heure, mouillage dans la baie d’Abélike. Nous sommes obligés de porter une amarre à terre, ce que je n’aime pas du tout, c’est très désagréable, et de plus à mon avis dangereux, si le vent se lève et prend le bateau de travers.Baignade, les fonds sont désolants, c’est une constatation que nous ferons tout au long de ce voyage, c’est décourageant de faire tant de miles pour voir sivota8.JPG des fonds aussi pauvres. Par contre les rivages sont superbes, avec des oliviers souvent sauvages, les racines dans l’eau. Dans l’après midi une flottille de 10 bateaux de loc. arrive, et le soir c’est bienvenue à Kalasuinga. Course d’annexes, jeu de la patate, éclatement de ballons, tous les jeux de colonie de vacances pour gamins de 10ans. Les bronzés à la mer !!